La première partie de cette quatrième saison était plus qu’attendue. Pour cause de pandémie mondiale, les fans de Stranger Things ont dû sagement attendre trois ans pour retrouver la bande de Hawkins. Disponible sur Netflix depuis le 27 mai, cette première partie est composée de 7 épisodes qui durent entre 1h15 et 1h40. La seconde partie sera disponible le 3 juillets et sera composé de seulement 2 épisodes de 1h25 et 2h20. Cette première partie donne un ton beaucoup plus horrifique à la série et on ressent qu'on s'approche de plus en plus du dénouement final (et ce n’est pas plus mal). C’est parti pour vous donner mon avis dessus.
L'esthétique et les influences de Stranger Things 4
Aller retour entre Hawkins, la Californie et la Russie
Une DYNAMIQUE de groupe retrouvée et des personnages mis de coté
Stranger Things 4 (première partie), ce que j’en ai pensé.
La première partie de cette quatrième saison était plus qu’attendue. Pour cause de pandémie mondiale, les fans de Stranger Things ont dû sagement attendre trois ans pour retrouver la bande de Hawkins. Disponible sur Netflix depuis le 27 mai, cette première partie est composée de 7 épisodes qui durent entre 1h15 et 1h40. La seconde partie sera disponible le 3 juillets et sera composé de seulement 2 épisodes de 1h25 et 2h20. Cette première partie donne un ton beaucoup plus horrifique à la série et on ressent qu'on s'approche de plus en plus du dénouement final (et ce n’est pas plus mal). C’est parti pour vous donner mon avis dessus.
L'esthétique et les influences de Stranger Things 4
Aller retour entre Hawkins, la Californie et la Russie
Une DYNAMIQUE de groupe retrouvée et des personnages mis de coté
Il aura fallu attendre plus d’un an et demi pour connaître la suite des aventures des héros de Stranger Things. Disponible sur Netflix depuis le 4 juillet 2019, cette troisième saison est convaincante et ne déçoit que sur très peu de points. La série prend une sorte de nouveau tournant mais d'un coté, il y a un aspect assez identique au niveau du schéma narratif, ce qui peut faire naître un sentiment de lassitude puisqu’il n'y a aucune réelle prise de risque. Ceci dit, en ce qui me concerne, j'ai beaucoup apprécié cette nouvelle saison et je trouve que ça valait le coup d'attendre autant de temps. Si ça vous intéresse encore, je vous invite à lire ma critique sur la saison 1 ainsi que celle sur la saison 2.
L'esthétique et l’intrigue de Stranger Things 3
Avec cette troisième saison, on retrouve Hawkins et ses habitants, un peu plus d’an après les événements de la saison 2 et pour la première fois depuis le début de la série, cette nouvelle saison se passe pendant l’été, en 1985. Adieu l’automne et les costumes d’Halloween et bonjour au soleil, à la piscine municipale et au nouveau centre commercial, Starcourt. J’ai beaucoup aimé l’ambiance apportée par le centre commercial, les scènes qui s’y passent sont colorées et ça apporte encore plus une touche années 80 et ça m’a fait pensé à pas mal de scènes qu’on pouvait voir dans les teen-movies des années 80 (Weird Science, Fast Times at Ridgemont High, Valley Girl, ect). En effet, cette saison ne manque pas de faire hommage au cinéma des années 80 et on retiendra l'influence des films de James Cameron (plus précisément Terminator et Aliens) et ceux de John Carpenter pour cette troisième saison. Au niveau de la musique, Kyle Dixon et Michael Stein ont encore fait de l’excellent travail et j’étais assez contente de retrouver certains morceaux utilisé lors de la saison 2 (Eulogy ❤). Au niveau des chansons, on rejoue bien évidemment la carte des 80s avec des chansons très pop tels que Material Girl de Madonna ou encore Workin' For A Livin' de Huey Lewis and The News. Tout comme les saisons précédentes, on retrouve un visuel très cinématographique qui est plaisant à l’œil et il y a davantage d'effets spéciaux dans cette saison, on voit que les Duffer Brothers ont mis les bouchés doubles.
On ne va pas se le cacher, mise à part l’intrigue autour des Russes, cette troisième saison reprend un peu la même histoire que que les saisons précédentes et on ne prend pas vraiment de risques. Comme il était suggéré en voyant les dernières secondes du dernier épisode de la saison précédente, on retrouve le grand méchant de la saison 2, The Mind Flayer, qui a réussi à réchapper à la fermeture de portail par Eleven à la fin de la deuxième saison et alors qu'il était représenté avec des ombres, on le retrouve dans cette nouvelle saison en chair et en os si je peux dire.
La saison 3 véhicule un peu une vibe à la Red Dawn (long-métrage sorti en 1984) avec la présence des Russes à Hawkins, mais je trouve que leur introduction reste un peu brouillon. Il semblerait cependant qu’on en sache plus dans la prochaine saison. La saison mise aussi sur un côté très teenager, surtout lors des trois premiers épisodes, ce qui n’est pas déplaisant. C’était intéressant de voir l’amitié (qui semble naissante) entre Eleven et Max et d’avoir cette dimension boys vs. girls, mais j'avoue avoir été déçu qu'on ne retrouve pas une bande soudée. C'est ce qui m'avait d'ailleurs dérangé lors de la deuxième saison, mais ça montre d’un côté que nos héros grandissent et qu'il est possible qu'en quittant le monde de l'enfance, ils finissent par s'éloigner des uns et des autres (un peu une fin à la Stand by Me). Concernant le ton de la série, je trouve que c'est la saison la plus drôle et j’ai vraiment bien ri devant. C'est également la saison la plus triste et la plus sombre, ce qui est très paradoxal, mais assez intéressant en fin de compte.
Emois amoureux et fin de l'enfance pour nos personnages
La bande-annonce de la saison 3 laissait présager que cette saison allait marquer la fin de l’enfance. Adieu le monde de l’enfance, les kids de Stranger Things ne le sont plus vraiment et ils sont enfin dans le stade de l’adolescence. Mike et Eleven sortent ensemble et ont tendance à passer une peu trop de temps ensemble (au grand dam de Hopper), Lucas et Max sortent également ensemble, mais leur couple n’est pas tellement mis en avant. Seul Will se trouve célibataire parmi ces jeunes qui sont en émois amoureux et il est donc assez en décalage par rapport à ses amis. Ce personnage m’a fait beaucoup de peine et même si on lui offre un peu de répit par rapport aux deux premières saisons, ça m’a fait mal au cœur qu’il soit ainsi mis de côté. Contrairement aux autres, Will essaye tant bien que mal de s'accrocher aux derniers instants de son enfance, en voulant par exemple jouer à Dungeons & Dragons mais il se rendra vite compte que ce n'est pas le cas du reste de la bande. J’avais vraiment été impressionné par la prestation de Noah Schnapp lors de la deuxième saison et je trouve que son personnage n’est pas du tout exploité dans cette saison et j'espère sincèrement qu’il sera remis sur le devant de la scène lors de la saison 4.
J’ai particulièrement aimé le personnage d’Eleven dans cette saison. Entre amoureuse transie et adolescente badass, je trouve qu’il y a un équilibre intéressant entre sa nature d’adolescente et celle d’une jeune fille aux pouvoirs extraordinaire qui a la tâche compliquée de sauver la ville d’Hawkins, encore une fois. Millie Bobby Brown est tout simplement excellente et elle m’a vraiment impressionné.
Moi qui n’a jamais été une grande fan de Jonathan et Nancy, j’avoue que j’ai mieux accroché avec ces personnages, surtout Nancy, qui se révèle être de plus en plus une jeune femme déterminée qui ne se laisse pas marcher sur les pieds (le sujet de la place des femmes dans le monde du travail est introduit dans cette nouvelle saison à travers son personnage) et il faut l’avouer, elle est badass avec un flingue.
La bromance entre Dustin et Steve, toujours au rendez-vous
Si comme moi vous aviez aimé le duo inattendu formé par Steve et Dustin dans Stranger Things 2, vous ne serez pas déçu car le duo est davantage présent dans cette troisième saison et l’alchimie est toujours là. Dustin est toujours égal à lui même tandis qu’on retrouve un Steve un peu perdu, qui n’a été accepté dans aucune fac et qui travaille durant l’été en tant que vendeur de glace, en compagnie de Robin, un nouveau personnage incarné par Maya Hawke. Robin est une addition plaisante, elle est intelligente et sait prendre les devants et au final, elle arrive parfaitement à s'intégrer au groupe formé par Steve et Dustin.
La majorité du public l'avait adoré et et malgré qu'elle soit assez agaçante, Erica, la petite sœur de Lucas est de retour. Davantage présente à l'écran, elle fait intégralement partie de l'aventure en rejoignant le petit groupe formé par Dustin, Steve et Robin. Toujours aussi sassy, la présence d'Erica rajoute encore plus d'humour à la saison.
En ce qui concerne les personnages adultes, j’ai eu du mal avec Hopper cette saison. Bien que j’aimais bien le personnage dans les saisons précédentes, je l’ai trouvé plutôt imbuvable dans cette saison 3. Il est toujours en colère et j’ai trouvé ça un peu malsain qu’il veuille saboter à tout prix la relation entre Mike et Eleven. Même son comportement avec Joyce laisse à désirer. J'ai beaucoup aimé le duo entre Murray, le reporter excentrique qui avait été introduit lors de la deuxième saison, et Alexei, un scientifique russe un peu enfantin qui a été kidnappé par Joyce et Hopper. Bien que ce duo soit tout de même assez peu présent à l'écran, il ajoute un touche d'humour aux derniers épisodes plutôt sombres.
En conclusion, Stranger Things 3 est une bonne saison et une bonne continuité des saisons précédentes (malgré une facilité scénaristique qui saute aux yeux), mais selon moi, vu le ton donné avec cette troisième saison, et même si j’adore la série, j'aimerais que la quatrième saison soit la dernière. La série ne devrait pas trainer en longueur, au risque de perdre en qualité narrative et la série mérite d'avoir un beau final pour clôturer ce récit. J'espère que cette critique vous aura plu, j'ai essayé de l'écrire en évitant de trop spoiler mais je vous invite à discuter davantage de la saison dans les commentaires ou même sur Twitter.
Stranger Things 3, ma critique.
Il aura fallu attendre plus d’un an et demi pour connaître la suite des aventures des héros de Stranger Things. Disponible sur Netflix depuis le 4 juillet 2019, cette troisième saison est convaincante et ne déçoit que sur très peu de points. La série prend une sorte de nouveau tournant mais d'un coté, il y a un aspect assez identique au niveau du schéma narratif, ce qui peut faire naître un sentiment de lassitude puisqu’il n'y a aucune réelle prise de risque. Ceci dit, en ce qui me concerne, j'ai beaucoup apprécié cette nouvelle saison et je trouve que ça valait le coup d'attendre autant de temps. Si ça vous intéresse encore, je vous invite à lire ma critique sur la saison 1 ainsi que celle sur la saison 2.
L'esthétique et l’intrigue de Stranger Things 3
Avec cette troisième saison, on retrouve Hawkins et ses habitants, un peu plus d’an après les événements de la saison 2 et pour la première fois depuis le début de la série, cette nouvelle saison se passe pendant l’été, en 1985. Adieu l’automne et les costumes d’Halloween et bonjour au soleil, à la piscine municipale et au nouveau centre commercial, Starcourt. J’ai beaucoup aimé l’ambiance apportée par le centre commercial, les scènes qui s’y passent sont colorées et ça apporte encore plus une touche années 80 et ça m’a fait pensé à pas mal de scènes qu’on pouvait voir dans les teen-movies des années 80 (Weird Science, Fast Times at Ridgemont High, Valley Girl, ect). En effet, cette saison ne manque pas de faire hommage au cinéma des années 80 et on retiendra l'influence des films de James Cameron (plus précisément Terminator et Aliens) et ceux de John Carpenter pour cette troisième saison. Au niveau de la musique, Kyle Dixon et Michael Stein ont encore fait de l’excellent travail et j’étais assez contente de retrouver certains morceaux utilisé lors de la saison 2 (Eulogy ❤). Au niveau des chansons, on rejoue bien évidemment la carte des 80s avec des chansons très pop tels que Material Girl de Madonna ou encore Workin' For A Livin' de Huey Lewis and The News. Tout comme les saisons précédentes, on retrouve un visuel très cinématographique qui est plaisant à l’œil et il y a davantage d'effets spéciaux dans cette saison, on voit que les Duffer Brothers ont mis les bouchés doubles.
On ne va pas se le cacher, mise à part l’intrigue autour des Russes, cette troisième saison reprend un peu la même histoire que que les saisons précédentes et on ne prend pas vraiment de risques. Comme il était suggéré en voyant les dernières secondes du dernier épisode de la saison précédente, on retrouve le grand méchant de la saison 2, The Mind Flayer, qui a réussi à réchapper à la fermeture de portail par Eleven à la fin de la deuxième saison et alors qu'il était représenté avec des ombres, on le retrouve dans cette nouvelle saison en chair et en os si je peux dire.
La saison 3 véhicule un peu une vibe à la Red Dawn (long-métrage sorti en 1984) avec la présence des Russes à Hawkins, mais je trouve que leur introduction reste un peu brouillon. Il semblerait cependant qu’on en sache plus dans la prochaine saison. La saison mise aussi sur un côté très teenager, surtout lors des trois premiers épisodes, ce qui n’est pas déplaisant. C’était intéressant de voir l’amitié (qui semble naissante) entre Eleven et Max et d’avoir cette dimension boys vs. girls, mais j'avoue avoir été déçu qu'on ne retrouve pas une bande soudée. C'est ce qui m'avait d'ailleurs dérangé lors de la deuxième saison, mais ça montre d’un côté que nos héros grandissent et qu'il est possible qu'en quittant le monde de l'enfance, ils finissent par s'éloigner des uns et des autres (un peu une fin à la Stand by Me). Concernant le ton de la série, je trouve que c'est la saison la plus drôle et j’ai vraiment bien ri devant. C'est également la saison la plus triste et la plus sombre, ce qui est très paradoxal, mais assez intéressant en fin de compte.
Emois amoureux et fin de l'enfance pour nos personnages
La bande-annonce de la saison 3 laissait présager que cette saison allait marquer la fin de l’enfance. Adieu le monde de l’enfance, les kids de Stranger Things ne le sont plus vraiment et ils sont enfin dans le stade de l’adolescence. Mike et Eleven sortent ensemble et ont tendance à passer une peu trop de temps ensemble (au grand dam de Hopper), Lucas et Max sortent également ensemble, mais leur couple n’est pas tellement mis en avant. Seul Will se trouve célibataire parmi ces jeunes qui sont en émois amoureux et il est donc assez en décalage par rapport à ses amis. Ce personnage m’a fait beaucoup de peine et même si on lui offre un peu de répit par rapport aux deux premières saisons, ça m’a fait mal au cœur qu’il soit ainsi mis de côté. Contrairement aux autres, Will essaye tant bien que mal de s'accrocher aux derniers instants de son enfance, en voulant par exemple jouer à Dungeons & Dragons mais il se rendra vite compte que ce n'est pas le cas du reste de la bande. J’avais vraiment été impressionné par la prestation de Noah Schnapp lors de la deuxième saison et je trouve que son personnage n’est pas du tout exploité dans cette saison et j'espère sincèrement qu’il sera remis sur le devant de la scène lors de la saison 4.
J’ai particulièrement aimé le personnage d’Eleven dans cette saison. Entre amoureuse transie et adolescente badass, je trouve qu’il y a un équilibre intéressant entre sa nature d’adolescente et celle d’une jeune fille aux pouvoirs extraordinaire qui a la tâche compliquée de sauver la ville d’Hawkins, encore une fois. Millie Bobby Brown est tout simplement excellente et elle m’a vraiment impressionné.
Moi qui n’a jamais été une grande fan de Jonathan et Nancy, j’avoue que j’ai mieux accroché avec ces personnages, surtout Nancy, qui se révèle être de plus en plus une jeune femme déterminée qui ne se laisse pas marcher sur les pieds (le sujet de la place des femmes dans le monde du travail est introduit dans cette nouvelle saison à travers son personnage) et il faut l’avouer, elle est badass avec un flingue.
La bromance entre Dustin et Steve, toujours au rendez-vous
Si comme moi vous aviez aimé le duo inattendu formé par Steve et Dustin dans Stranger Things 2, vous ne serez pas déçu car le duo est davantage présent dans cette troisième saison et l’alchimie est toujours là. Dustin est toujours égal à lui même tandis qu’on retrouve un Steve un peu perdu, qui n’a été accepté dans aucune fac et qui travaille durant l’été en tant que vendeur de glace, en compagnie de Robin, un nouveau personnage incarné par Maya Hawke. Robin est une addition plaisante, elle est intelligente et sait prendre les devants et au final, elle arrive parfaitement à s'intégrer au groupe formé par Steve et Dustin.
La majorité du public l'avait adoré et et malgré qu'elle soit assez agaçante, Erica, la petite sœur de Lucas est de retour. Davantage présente à l'écran, elle fait intégralement partie de l'aventure en rejoignant le petit groupe formé par Dustin, Steve et Robin. Toujours aussi sassy, la présence d'Erica rajoute encore plus d'humour à la saison.
En ce qui concerne les personnages adultes, j’ai eu du mal avec Hopper cette saison. Bien que j’aimais bien le personnage dans les saisons précédentes, je l’ai trouvé plutôt imbuvable dans cette saison 3. Il est toujours en colère et j’ai trouvé ça un peu malsain qu’il veuille saboter à tout prix la relation entre Mike et Eleven. Même son comportement avec Joyce laisse à désirer. J'ai beaucoup aimé le duo entre Murray, le reporter excentrique qui avait été introduit lors de la deuxième saison, et Alexei, un scientifique russe un peu enfantin qui a été kidnappé par Joyce et Hopper. Bien que ce duo soit tout de même assez peu présent à l'écran, il ajoute un touche d'humour aux derniers épisodes plutôt sombres.
En conclusion, Stranger Things 3 est une bonne saison et une bonne continuité des saisons précédentes (malgré une facilité scénaristique qui saute aux yeux), mais selon moi, vu le ton donné avec cette troisième saison, et même si j’adore la série, j'aimerais que la quatrième saison soit la dernière. La série ne devrait pas trainer en longueur, au risque de perdre en qualité narrative et la série mérite d'avoir un beau final pour clôturer ce récit. J'espère que cette critique vous aura plu, j'ai essayé de l'écrire en évitant de trop spoiler mais je vous invite à discuter davantage de la saison dans les commentaires ou même sur Twitter.
Vendredi 27 octobre - Dès 9h, j’étais prête devant mon ordi à lancer cette nouvelle saison de Stranger Things. Une journée intense avec pratiquement aucune pause où pendant presque 8h, j’ai retrouvé l’univers de cette série hors du commun au côté rétro que j’adore tant et qui m’avait tant attiré à la regarder. Je ne sais pas vraiment par où commencer tellement j’ai beaucoup à raconter alors on va commencer simple en disant que mes attentes ont été plus que comblés. Je peux déjà vous dire que mon avis est plus que positif. Dès le premier épisode, c’est comme si on rentrait enfin chez nous, j’étais tellement heureuse de retrouver toute la bande et l’ambiance si particulière propre à Stranger Things. Cette deuxième saison a su prendre son propre chemin et s’éloigne de la première saison où le coté hommage des années 80 était assez mis en avant. Dans cette deuxième saison, c’est plus subtil. Stranger Things 2 atteint un niveau supérieur et ça laisse présager que la saison trois sera encore plus grandiose. Stranger Things 2 a gagné en maturité et en profondeur. Pas tellement plus effrayante que la première saison, elle est définitivement plus noire, légèrement gore à certains moments et possède un côté apocalyptique mais cela n’empêche pas à la série de conserver quelques touches d'humour.
L'esthétique et l’intrigue de Stranger Things 2
Esthétiquement, on retrouve ce même visuel très cinématographique, encore plus magnifique que dans la saison précédente. C’est juste très beau à voir et on a une qualité d’image époustouflante. On a beaucoup plus de scènes représentant The Upside Down et c’est vraiment superbe et glaçant, un monde mort et effrayant. Les effets spéciaux sont vraiment réalistes et bien faits, notamment les Demodogs. Venant en à la partie qui m’a le plus époustouflé, c’est la musique. Kyle Dixon et Michael Stein ont fait de l’excellent travail et j’ai trouvé que la musique avait une présence encore plus importante que dans la saison précédente. Je trouve que la musique a ici une place à part entière et intensifie tout ce qui se passe dans les scènes. La musique ajoute une dimension tellement émotionnellement que ça m’en a donné des frissons et que ça m'a même parfois bouleversé. Cela rajoute également un coté très cinéma qui colle parfaitement avec Stranger Things. Je vous invite d'ailleurs à aller écouter la soundtrack sur Spotify.
Par contre, j’ai adoré le fait qu’ils aient intégré la famille de Dustin et celle de Lucas à la série. Alors qu’on avait seulement eut droit à la famille Wheeler et à la famille Byers dans la première saison, ici, on rencontre enfin la famille des autres membres de la bande. J’ai adoré la relation qu’a Dustin avec sa mère mais j’ai craqué sur la petite sœur de Lucas, Erica. Elle est agaçante, effrontée et ne cesse de se moquer de son nerd de frère, elle est tout simplement hilarante et elle est une bonne petite touche d’humour dans les scènes où elle est présente. J'ai aussi beaucoup ri du fait que, alors que Will a disparu pendant une semaine l'année précédente, les parents ne s'inquiètent pas plus que ça de ne pas voir leurs gosses pendant des journées entières. Apparemment, c'était pour souligner le mode de vie des années 80 où les gosses faisaient un peu ce qu'ils voulaient de leur vie, tant qu'ils rentraient à l'heure pour dîner.
Je ne vais pas tergiverser en ce qui concerne Jonathan et Nancy car je l’avoue, ce sont les personnages qui m’ont le moins intéressé dans cette saison et j’avouerai que je n’ai pas grand-chose à dire sur eux.
Vous l’aurez compris, j’ai été conquise par cette saison, ayant entre temps déjà regardé certains épisodes plusieurs fois, ce que je n’avais pas fait avec la première saison. Même si on va devoir attendre pas mal de temps pour la troisième saison, qui sera probablement diffusé début 2019, j’ai vraiment hâte de voir ce que va nous réserver l’équipe de Stranger Things.
Stranger Things 2, ce que j'en ai pensé.
Vendredi 27 octobre - Dès 9h, j’étais prête devant mon ordi à lancer cette nouvelle saison de Stranger Things. Une journée intense avec pratiquement aucune pause où pendant presque 8h, j’ai retrouvé l’univers de cette série hors du commun au côté rétro que j’adore tant et qui m’avait tant attiré à la regarder. Je ne sais pas vraiment par où commencer tellement j’ai beaucoup à raconter alors on va commencer simple en disant que mes attentes ont été plus que comblés. Je peux déjà vous dire que mon avis est plus que positif. Dès le premier épisode, c’est comme si on rentrait enfin chez nous, j’étais tellement heureuse de retrouver toute la bande et l’ambiance si particulière propre à Stranger Things. Cette deuxième saison a su prendre son propre chemin et s’éloigne de la première saison où le coté hommage des années 80 était assez mis en avant. Dans cette deuxième saison, c’est plus subtil. Stranger Things 2 atteint un niveau supérieur et ça laisse présager que la saison trois sera encore plus grandiose. Stranger Things 2 a gagné en maturité et en profondeur. Pas tellement plus effrayante que la première saison, elle est définitivement plus noire, légèrement gore à certains moments et possède un côté apocalyptique mais cela n’empêche pas à la série de conserver quelques touches d'humour.
L'esthétique et l’intrigue de Stranger Things 2
Esthétiquement, on retrouve ce même visuel très cinématographique, encore plus magnifique que dans la saison précédente. C’est juste très beau à voir et on a une qualité d’image époustouflante. On a beaucoup plus de scènes représentant The Upside Down et c’est vraiment superbe et glaçant, un monde mort et effrayant. Les effets spéciaux sont vraiment réalistes et bien faits, notamment les Demodogs. Venant en à la partie qui m’a le plus époustouflé, c’est la musique. Kyle Dixon et Michael Stein ont fait de l’excellent travail et j’ai trouvé que la musique avait une présence encore plus importante que dans la saison précédente. Je trouve que la musique a ici une place à part entière et intensifie tout ce qui se passe dans les scènes. La musique ajoute une dimension tellement émotionnellement que ça m’en a donné des frissons et que ça m'a même parfois bouleversé. Cela rajoute également un coté très cinéma qui colle parfaitement avec Stranger Things. Je vous invite d'ailleurs à aller écouter la soundtrack sur Spotify.
Par contre, j’ai adoré le fait qu’ils aient intégré la famille de Dustin et celle de Lucas à la série. Alors qu’on avait seulement eut droit à la famille Wheeler et à la famille Byers dans la première saison, ici, on rencontre enfin la famille des autres membres de la bande. J’ai adoré la relation qu’a Dustin avec sa mère mais j’ai craqué sur la petite sœur de Lucas, Erica. Elle est agaçante, effrontée et ne cesse de se moquer de son nerd de frère, elle est tout simplement hilarante et elle est une bonne petite touche d’humour dans les scènes où elle est présente. J'ai aussi beaucoup ri du fait que, alors que Will a disparu pendant une semaine l'année précédente, les parents ne s'inquiètent pas plus que ça de ne pas voir leurs gosses pendant des journées entières. Apparemment, c'était pour souligner le mode de vie des années 80 où les gosses faisaient un peu ce qu'ils voulaient de leur vie, tant qu'ils rentraient à l'heure pour dîner.
Je ne vais pas tergiverser en ce qui concerne Jonathan et Nancy car je l’avoue, ce sont les personnages qui m’ont le moins intéressé dans cette saison et j’avouerai que je n’ai pas grand-chose à dire sur eux.
Vous l’aurez compris, j’ai été conquise par cette saison, ayant entre temps déjà regardé certains épisodes plusieurs fois, ce que je n’avais pas fait avec la première saison. Même si on va devoir attendre pas mal de temps pour la troisième saison, qui sera probablement diffusé début 2019, j’ai vraiment hâte de voir ce que va nous réserver l’équipe de Stranger Things.
STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).
L’ESTHÉTIQUE
Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).CE QUE J'EN AI PENSÉ
Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.
Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.
Stranger Things, la nouvelle série Netflix: un mix entre Les Goonies, E.T et Poltergeist.
STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).
L’ESTHÉTIQUE
Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).CE QUE J'EN AI PENSÉ
Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.
Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.